A l'occasion de la JOURNÉE MONDIALE DE L'HYGIÉNE MENSTRUELLE,
Sud Solidaires BPCE revendique l'ouverture d'une négociation pour un congé menstruel.
Travailler en souffrant ? C'est assez !
Chaque mois, des millions de femmes endurent des douleurs menstruelles sévères. Crampes, mi-graines, fatigue intense, problèmes digestifs... Pourtant, rien n'est prévu sur notre le lieu de travail.
Le silence, la gêne, et parfois la culpabilité de ne pas être à la hauteur sont omniprésents. Il est temps de passer à l'action.
Certaines entreprises l'ont déjà mis en œuvre. Pourquoi pas la CEIDF ?
Ce congé existe dans divers pays, et plusieurs entreprises françaises l'ont déjà adopté. Il s'agit d'une mesure de santé publique, de promotion de l'égalité professionnelle et de respect.
C'est pourquoi, Sud Solidaires BPCE demande à la direction de débuter des négociations afin de mettre en place
ce droit.
Nous refusons que les douleurs menstruelles demeurent un sujet tabou.
Nous aspirons à une entreprise inclusive, attentive à toutes et tous.
En cette journée mondiale de l'hygiène menstruelle, Sud Solidaires BPCE s'engage pour :
- Un congé menstruel sans justificatif et sans perte de salaire à hauteur d'un jour de congé par mois
- La mise à disposition dans les locaux de protections périodiques
- Du télétravail pour celles qui y ont droit et qui le souhaitent.
