Le 25 novembre est la Journée internationale dédiée à l’élimination des violences faites aux femmes. Manifestations, rassemblements et de nombreuses autres actions sont organisés afin de sensibiliser à la gravité des violences que les femmes subissent depuis toujours. Cette année, en particulier, le procès Mazan, qui a ému la France entière, doit nous interpeller et nous pousser à réagir.
FOCUS sur les chiffres* :
La sphère privée n’est, bien évidemment, pas épargnée. En 2022, 86 % des victimes de violences
conjugales enregistrées par la police et la gendarmerie étaient des femmes, soit 244 301 victimes*.
Nous le savons, les violences faites aux femmes sont profondément ancrées et normalisées, car
elles restent souvent invisibles, ou bien elles sont perçues comme une fatalité ou un fléau.
Pourtant, les solutions sont connues : une prévention rigoureuse des violences, une éducation à
l’égalité et à la culture du consentement, la mise à l’abri des victimes et un accompagnement dans
leur reconstruction.
9 % des viols ont lieu sur le lieu de travail.
30 % des salariées ont déjà été harcelées ou agressées sexuellement
dans leur environnement professionnel.
70 % des victimes de ces violences déclarent n’en avoir jamais parlé à leur employeur
La sphère privée n’est, bien évidemment, pas épargnée. En 2022, 86 % des victimes de violences
conjugales enregistrées par la police et la gendarmerie étaient des femmes, soit 244 301 victimes*.
Nous le savons, les violences faites aux femmes sont profondément ancrées et normalisées, car
elles restent souvent invisibles, ou bien elles sont perçues comme une fatalité ou un fléau.
Pourtant, les solutions sont connues : une prévention rigoureuse des violences, une éducation à
l’égalité et à la culture du consentement, la mise à l’abri des victimes et un accompagnement dans
leur reconstruction.
C’est pourquoi lors du prochain CSE du 19 décembre, Sud demande à la direction de faire
le point sur le harcèlement moral et sexuel :
- Nombre d’enquêtes menées au total depuis la mise en place des référents.
- Nombre d’enquêtes en cours
- Détail des thématiques et réponses apportées.
Sur ces questions, notre syndicat Sud est un véritable acteur engagé. Depuis plus de 20 ans, la
commission Femmes de Solidaires œuvre pour ces causes.
Nous travaillons en collaboration avec les mouvements féministes, tant au niveau national
qu’international. Les échanges entre chercheuses et militantes nourrissent nos réflexions sur
des thématiques comme l’égalité femmes-hommes et les questions de genre.
La commission organise également des formations spécifiques. Vos élus Sud sont donc formés
sur le harcèlement moral et sexuel, sur les violences sexistes et sexuelles, y compris sur les
aspects juridiques.
Si vous êtes victime de violences au travail ou ailleurs, n’hésitez pas à nous contacter. Vos
élus sont à votre disposition pour vous écouter, vous accompagner et vous défendre, quelle
que soit votre situation.
www.ceidf.sudbpce.com
sud.ceidf@sudbpce.com 06 59 29 75 C’est pourquoi lors du prochain CSE du 19 décembre, Sud demande à la direction de fairele point sur