Valérie Boisliveau



Témoin d'injustices, d'inégalités dans  mon travail de conseiller commercial, j’aurais pu choisir de quitter la CEIDF mais j’ai décidé de rester et j'ai choisi de militer à Sud. Entourée de camarades expérimentées, je me suis engagée pour changer de l’intérieur ce qui ne me convenait pas. Voilà un défi qui m'est apparu  intéressant à relever ! Défendre des valeurs humanistes, le progrès social, la redistribution des richesses, s'opposer à l'establishment, la tache était et continue encore aujourd'hui d'être grande.

C’était il y a plus de 20 ans. Mes convictions et mon entêtement à vouloir un monde plus juste sont plus que jamais intacts.